Depuis le début de l’année 2025, le Zoo de La Boissière du Doré connaît une véritable effervescence, avec une série de naissances qui réjouit à la fois les équipes du parc et les visiteurs.
En mars, les soigneurs du parc ont accueilli un jeune paresseux à deux doigts, le septième né au sein du zoo depuis 2018. L’équipe animalière a réalisé son identification récemment, mais la détermination du sexe nécessite une analyse ADN, car les mâles et les femelles ne présentent aucun signe distinctif visible. En attendant, le petit reste solidement accroché à sa mère, visible dans le bâtiment ou l’espace extérieur de la volière Iguazu Park.
D’autres bonnes nouvelles ont été annoncées, notamment l’éclosion de deux jeunes grands éclectus, de plusieurs petits flamants des Caraïbes, ainsi que de trois milans sacrés et trois chouettes effraies. Certains sont élevés par leurs parents, tandis que d’autres reçoivent des soins attentifs dans la nurserie.
Chez les suricates, une naissance longtemps suspectée s’est confirmée avec l’apparition d’un petit, sorti timidement de son terrier après plusieurs semaines passées sous terre. Plusieurs jeunes saïmiris ont également vu le jour ce printemps, et dans la plaine africaine, un zèbre et un bœuf watusi ont rejoint les troupeaux pour le plus grand bonheur des visiteurs séjournant aux Africa Lodge.
La dernière naissance en date sur la plaine africaine est celle d’un girafon de Rothschild. Ce petit mâle, né le 14 juin, a été prénommé Mapema, qui signifie « en avance » en swahili, une référence au fait que sa naissance est survenue plus tôt que prévu après les premières observations d’accouplement. Il est actuellement visible aux côtés de sa mère, Twiga, dans le paddock de la plaine africaine, et rejoindra bientôt le reste du groupe de girafes de Rothschild et les autres espèces de la plaine.
Les visiteurs peuvent également observer Orhy et Carlit, deux jeunes oursons nés le 12 janvier. Depuis leur sortie en mai, ils découvrent la Vallée des Ours aux côtés de leurs aînées Annie et Quiala, sous le regard protecteur de leur mère Meya, elle-même née dans le parc en 2017.
